La maison de George Clemenceau
A l’occasion d’un week-end en Vendée, j’ai découvert Saint Vincent sur Jard et la maison de George Clemenceau.
J’ai découvert qu’il avait vécu aux USA et qu’il parlait parfaitement l’anglais.
Le fameux titre “J’accuse” paru en 1898 dans le journal l’Aurore concernant l’affaire Dreyfus n’a pas été écrit par Emile Zola, comme on le lit souvent, mais par Georges Clemenceau, alors éditorialiste du journal. Le reste de la lettre est en revanche bien d’Emile Zola.
C’est Clemenceau qui fera tout pour que les Nymphéas de Monet soient exposées au musée de l’Orangerie à Paris.
Les 10 dernières années de sa vie, entre 1919 et 1929, après s’être retiré de la vie politique, George Clemenceau revient au pays, dans une petite longère aux volets verts,
à Saint-Vincent-sur-Jard. Une maison devenue de nos jours un musée. Il y cultivera la solitude, tout comme son jardin.
Un jardin où les iris côtoient les chardons bleus, coquelicots et rosiers et composent un savant tableau empreint de simplicité et d’émotion, inspiré par les peintures de son grand ami Claude Monet, qu’il surnommait « mon cher vieux bipède ».
Dans sa demeure de bord de mer, il recevra de nombreux hôtes très prestigieux : Monet bien sûr, mais aussi Yvonne Printemps, Sacha Guitry, Joseph Kessel.
Marcelle Boulin, sa fidèle cuisinière et épouse de son valet de chambre, Albert, officiait discrètement et lui confectionnait son plat préféré, le poulet Soubise.
joliebalade
j’adore la vendée
bizz
Mon père avait une grande admiration pour Clémenceau, le”père la victoire” et nous avons été plusieurs fois visiter sa petite maison vendéenne….
Très joli reportage qui donne envie de découvrir cette maison!
Bonjour,
je découvre votre blog au travers du partage que vous avez fait sur le mien pour la recette de cuisine du poulet Soubise.
Merci beaucoup pour ce partage et ravie de connaître le vôtre qui est très varié.
Belle fin de semaine.
Marie-France